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Aly Budapesten
9 octobre 2017

Jour 4

Déjà le dernier jour ! 

Après un réveil légèrement plus tardif, nous allons déposer notre valise avant de rejoindre le nord de Pest pour prendre un petit déjeuner. Mon guide conseille un endroit parfait pour les brunchs. Après plus de trente minutes, nous arrivons devant un boui-boui. Tant pis, j'ai faim. Au final, c'était plutôt sympa. Mon croissant au fromage était bien présenté et vraiment bon. Comme quoi, il ne faut pas toujours se fier aux apparences. 

Nous gagnons ensuite l'île Marguerite que je voulais absolument voir. En arrivant, nous sommes immédiatement impressionnés par la fontaine. A priori, il y a une sorte d'animation une fois par heure. Nous l'avons loupée donc nous décidons de faire le tour de l'île pour revenir ensuite. Ils ont des arbres vraiment impressionnants mais ce qui m'intéresse vraiment, c'est le jardin japonais.

IMG_6708

Voici également un aperçu du reste de l'île :

IMG_6712

L'endroit est vraiment super. Ça vaut le déplacement et les couleurs automnales ne gâchent rien. Malheureusement, mon corps recommence à m'en vouloir. En plus des douleurs à la jambe et au dos, voilà que mes intestins viennent me perturber. Tant pis, je paie pour aller aux toilettes afin de ne pas complètement ruiner ma journée. Une fois soulagée, nous retournons à la fontaine. 

Voic une petite vidéo de ce que nous avons vu :

Au programme, Leó Weiner, Tchaïkovski, Vivaldi et Verdi. Ce que nous avons vu est très classique mais certaines heures offrent du Guns N' Roses, du Ed Sheeran ou encore du Shakira.

Bien évidemment, je commence à avoir faim, comme d'habitude. Nous retournons au centre ville pour manger dans un bistro et là on nous annonce que le service ne se fait qu'en terrasse. Sachant que, contrairement au jour précédent, il fait suffisamment froid pour que je me promène avec un t-shirt, un pull, un gilet et une veste, très peu pour moi. Il commence à pleuvioter, je suis fatiguée et j'ai de plus en plus faim. Bref, je commence à trouver la situation un peu pénible. Mallo n'ayant pas envie que la fin du week-end soit gâché, il trouve un restaurant vegan à deux rues de l'endroit où nous nous trouvons. L'endroit est immense (je n'ai jamais vu un resto vegan de cette taille dans ma vie) et je peux enfin manger un chou farci. Je reprends une citronnade, mais c'est toujours trop sucré pour moi. Je dois me faire une raison. Comme c'est gigantesque, nous sommes servis par une dizaine de personnes différentes. Néanmoins, on ne nous propose pas de dessert et l'heure tourne. Tant pis, nous partons. Nous allons récupérer notre valise et en chemin Mallo voit une boite aux lettres. On a failli oublier de poster nos cartes ! Mallo écrit la sienne à même la boîte aux lettres mais tout est envoyé dans les temps. Nous sommes en progrès.  Nous récupérons notre bagage et nous allons chercher le bus. Il y a déjà une file assez longue mais il est possible d'acheter des billets à un automate un peu plus loin, ce que nous faisons. Et bim, nous entrons dans le bus avant tout le monde. Pour une fois, le trajet se fera assis. En plus, il y a un arrêt de moins qu'à l'aller donc nous arrivons rapidement à l'aéroport. Comme à chaque fois avec Easyjet, le vol retour est en retard. Cependant, l'aéroport de Budapest est plutôt bien fichu. Nous nous posons dans un café et je mange un tarte aux pommes locale. Nous révisons à nouveau les katakanas et soudain nous entendons un troupeau de Français. L'embarquement a commencé plus tôt que prévu. Nous nous dépêchons mais bien sûr c'est le moment où je dois aller aux toilettes. Nous sortons ensuite dans le froid pour faire la queue avant d'entrer dans un hangar. Là, le type au guichet nous annonce qu'il y a trop de bagages en cabine et que nous devons mettre le nôtre en soute. Il nous conseille de prendre un sac à dos pour éviter ces désagréments. Je suis un peu saoulée. 

Une fois à Paris, nous récupérons la valise assez rapidement. Nous retrouvons notre voiture et prenons la route de nuit avec des provisions de chocolat et de coca pour rester éveillés. Nous arrivons à deux heures du matin chez nous. Ce week-end n'a pas été des plus reposants mais ça valait vraiment le coup. J'ai adoré Budapest et je connais désormais un peu de vocabulaire hongrois. Viszlát !

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